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Retour en Bolivie...
Situation au
03/04/2025
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Vue plongeante sur La Paz, cité immense construite au fond et sur les flancs d'une profonde cuvette...
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En approchant de La Paz nous faisons route droit sur l'Illimani, 6490 mètres, et le Mont Mururata, 5765 mètres d'altitude...
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Du sommet du col la vue est impressionnante sur l'Illimani et la Cordillière Royale, en direction de La Paz...
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Entre Tiwanaku et La Paz il a fallu escalader le col de LLoco-LLoco, 4028 mètres d'altitude...
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Sur le site de Tiwanaku nous avons fait la connaissance de trois jeunes cholitas de La Paz avec lesquelles nous avons passé un agréable moment...
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De grands murs rectilignes aux blocs énormes entourent le Kalasasaya...
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La Porte du Soleil...
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Dans un temple à demi-souterrain de nombreuses têtes ornent les quatre murs, réprésentant, dit-on , les ennemis vaincus, ou encore les différentes castes de la civilisation de Tiwanaku...
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En route, nous nous sommes arrêtés sur le site de Tiwanaku, oeuvre d'une civilisation pré-inca qui a duré plus de dix siècles avant de disparaître mystérieusement au XIIème siècle. Ils ont élevé des monolithes dont Hergé s'est inspiré pour les aventures de Tintin...
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A Désaguadero nous avons franchi la frontière, ici photographiés par un aimable douanier (salut, Roger!) bolivien. Adieu Pérou et re-bonjour la Bolivie !
Nous regagnons la Bolivie après un mois de Pérou, pays plus développé, mieux organisé, mais aussi plus cher. La Bolivie est actuellement en partie paralysée par des bloqueos, barrages sur les routes, à l'initiative des mineurs ou des étudiants...
La partie EST du pays où nous allons nous diriger dans les prochains jours, est plus riche, plus peuplée et moins élevée que l'Altiplano; certains de ses habitants réclament davantage d'autonomie pour leur province, d'autres évoquent même son indépendance. On manifeste dans ce sens à Santa Cruz, la seconde ville du pays, mais la première en termes d'activité économique. De quoi donner quelques soucis au président Evo Morales, le premier président issu du peuple Aymara, majoritaire dans le pays, élu en janvier 2006...
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Le jour du 14 juillet nous avons participé à la réception donnée par le Consul de France à Cochabamba dans la cour du Museo des Escritures...
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Les dames de Cochabamba portent d'élégants chapeaux, bien différents de ceux portés à La Paz...
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La Plaza 14 de Septiembre est la principale place de Cochabamba, entourée d'arcades, elle rassemble plusieurs batiments importants de la ville comme la cathédrale et la préfecture...
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L'arrivée à Oruro, ville de mineurs, célèbre aussi pour son carnaval du mois de mars...
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La neige est tombée pendant la nuit, blanchissant encore les hauteurs. Nous essuierons une averse de neige vers Sica-Sica...
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Le mauvais temps nous a rattrapés sur l'Altiplano entre La Paz et Oruro...
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Une coupure du journal bolivien Los Tiempos faisant état des dégats causés par la neige...
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La pollution atmosphérique est une des plaies de la ville: les nombreux bus et mini-bus y répandent de pestilanciels nuages...
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La place Murillo est un autre lieu important de La Paz: le palais du gouvernement et la cathédrale s'y pressent. On peut y assister à la relève de la garde...
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L'église San Francisco est le lieu où bat le coeur de La Paz. Toute proche du quartier des touristes, elle se dresse à deux pas des marchés populeux...
La Paz est une ville trépidante, immense et polluée. Je crois que nous y avons logé dans la seule rue horizontale, la Calle Illampu...
Nous l'avons quittée alors qu'un changement de temps se préparait. Effectivement, le lendemain de notre départ la ville était couverte de neige, et l'Alto, la partie haute habitée par les pauvres, connut des effondrements de toitures, des ruptures de lignes électriques et des problèmes de circulation. Du rarement vu d'après la presse locale.
La neige nous a rattrapés à Patacamaya, ainsi que la pluie, le vent et le froid. Nous connûmes alors une journée difficile et sombre, une de ces journées où le moral suivrait la courbe des températures si l'on n'y prenait garde.
Nous sommes actuellement à Cochabamba, 2300 mètres d'altitude, où, dit-on, le printemps est éternel. Nous y avons effectivement retrouvé soleil et douceur, ainsi que fortuitement le Tour de France sur TV5 dans l'ascension de notre cher Cormet de Roselend...
L'an dernier à la même époque nous nous trouvions à Kachgar, en Chine... Nous avons profité de la réception donnée par le Consul de France et L'Alliance Française à l'occasion du 14 juillet pour rencontrer une partie de la petite colonie française de Cochabamba... et savourer un plateau de fromages bien de chez nous !
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Nous avons dû traverser à gué une rivière. Alain en a profité pour faire une petite trempette, mais l'eau était bien froide !
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Le village de Maragua est étalé au fond du cratère. Ses habitants vivent de l'élevage et du tissage...
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Le but de la balade était le cratère de Maragua, qui aurait été formé à la suite de la chute d'une météorite...
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Nous sommes partis une journée sur les pistes et les chemins, comme ici sur un Chemin de l'Inca, en compagnie de Christophe, un Francais établi à Sucre, et de François et Audrey, deux amis de rencontre...
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Une vue générale de Sucre depuis La Recoletta...
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Une des nombreuses églises de Sucre. Datant de la colonisation espagnole, elle est toute blanche, comme tous les monuments de la ville...
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La place du 25 de Mayo à Sucre, la plus grande place de Bolivie, avec la cathédrale...
Nous sommes restés pour deux semaines dans les bras dodus de villes civilisées, afin de pouvoir quotidiennement communiquer avec la famille dans la peine et dans la mesure du possible reconforter... mais de si loin !
Après Cochabamba, dix heures de bus cahotant sur la piste nous ont conduits, sans les vélos, jusqu'à Sucre, capitale administrative de la Bolivie. Ville la plus espagnole d'Amérique du Sud d'après les connaisseurs, rues bordées de maisons coloniales, églises blanches sur ciel d'azur... mais menacée en tant que capitale par La Paz, siège du gouvernement...
Nous pensions faire un saut jusqu'à Potosi, mais les mineurs locaux bloquaient les routes, isolant la cite minière, interdisant entrées comme sorties...
Revenus à Cochabamba, nous reprenons les bicyclettes pour Samaipata puis Santa Cruz sous la chaleur retrouvée...
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...et enfin, un troisième...
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...puis un second...
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Voici un premier article...
Alice vous propose une sélection de trois coupures de presse qui relatent notre voyage...
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Vue générale de Santa-Cruz depuis le clocher de la cathédrale San Lorenzo.
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Une femelle de paresseux et son petit se meuvent avec lenteur dans un arbre de la Place du 24 Septembre à Santa-Cruz.
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Alain's Tour est une agence de voyage croisée à notre entrée à Santa-Cruz. Tout un programme !
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Un relief tourmenté, la forêt primaire, des plants d'orchidées en bouton (hélas!), menu de choix pour marche alerte.
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Une très belle balade dans les montagnes près de Bella Vista avec deux Français profs en Guyane nous a permis de contempler plusieurs cascades.
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Samaipata se trouve dans la région où a été assassiné Che Guevara le 8 octobre 1967. Le 6 juillet 1967 le Che et ses guérilleros y ont réuni les villageois pour leur expliquer leur présence et leurs espoirs. Si vous frémissez chaque fois qu'une injustice se produit dans le monde, alors vous et moi sommes compagnons. Nous nous sentons souvent compagnons du Che !
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Nous avons roulé parmi les Hautes Vallées, dominant parfois le paysage, ou plongeant dans de profondes gorges.
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Arrivée au village d'El Churro, 3498 mètres.
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Pentes, poussière, cailloux et beauté des paysages furent notre lot pendant deux magnifiques journées.
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Nous avons croisé un couple d'Allemands voyageant pour un mois en Bolivie.
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Après Epizana 130 kilomètres de piste et de nombreuses et rudes montées nous attendaient.
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La première étape de Cochabamba à Epizana s'est effectuée sur une impeccable route goudronnée, avec un premier haut col.
Cochabamba (2600 mètres) - Santa-Cruz (400 mètres).
500 kilomètres de faux-plat descendant pour passer des vallées dans la plaine du Chaco, pourrait-on penser.
En fait nous avons emprunté l'ancienne route (la carretera antigua) sur 512 kilomètres exactement, comportant 130 kilomètres de piste et 13 cols, dont 10 à plus de 3000 mètres! Il y a donc eu du sport, et du rude, mais au milieu de paysages inouis qui nous ont bien récompensés de nos efforts. Nous avons fait halte dans de petits villages isolés, croisé un couple d'Allemands, à velo comme nous, dormi près d'une dépouille de jaguar, et traverse La Siberia, bourgade survolée parfois par les condors.
Après le dernier col nous nous sommes accordé une pause à Samaipata, le temps d'effectuer une balade à pied de 6 heures vers Bella Vista et d'apprécier le confort de l'Hostal Andorina
Nous voici maintanant à Santa-Cruz qui dispute à La Paz, avec ses 1,2 millions d'habitants, le titre de première ville de Bolivie. C'est ici qu'attérrissent la majorite des occidentaux visitant le pays.
Nous filerons bientôt droit au sud vers Villa Montes, Tarija, Villazon et l'Argentine...
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...et le second...
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Voici le premier article...
Notre fille Alice étant partie en vacances, c'est Guillaume qui charge les deux derniers articles sur notre site internet...
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Voici l'article de cette semaine...
Cette semaine, Guillaume vous transmet une copie de notre article relatif au lac Titicaca...
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En leur compagnie nous avons arpenté la Réserve de Sama et cotoyé les lagunes de Tajzara où vivent de nombreux flamants roses.
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A Tarija, Sophie, Jerome et Swanne Maurice, qui sont installés pour quelque temps en Bolivie dans le but d'explorer ce magnifique pays, nous ont accueillis dans leur maison. Leur site est accessible sur http://www.globereporters.com...
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Nous avons assisté à San Lorenzo à la procession des lépreux à l'occasion de la fête patronale.
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La Casa Dorada, palais kitch de Tarija.
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Le pont sur le Rio Pilcamayo à Villamontés.
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Don Fernando nous a accueillis dans son alojiamento a Boyuibe après une journée de lutte contre le vent. C'est un grand amateur de mate, cette boisson que l'on trouve aussi en Argentine et au Paraguay.
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Sans béquilles aux vélos nous attendons de rencontrer des appuis pour nous arrêter. Les épineux nous contaignent de rester sur la chaussée pour épargner nos pneus.
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Nous avons passé la nuit dans l'école de Karaguadarenda, petit village dépourvu d'eau et d'électricité, mais accueillant.
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Une enseigne d'hacienda dans le Chaco bolivien: tout un programme !
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Au petit matin au péage de Mora de petits vendeurs nous proposent café et empanadas.
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Le début du printemps est marqué par la floraison de superbes arbres roses qui ont jalonné notre route.
Le Chaco est une région de Bolivie bordant le Paraguay et l'Argentine. De vastes haciendas, des buissons d'épineux, de rares villages, une route bien asphaltée et moyennement accidentée, un fort vent de face un jour sur deux furent notre univers de quelques jours, le temps de pédaler 480 kilomètres de Santa-Cruz à Villamontes.
Après la nuit au centre de santé d'Epizana, nous avons cette fois-ci expérimenté les haltes dans un poste de police, puis dans une école. Confort sommaire mais apprecié.
De Villamontes nous avons rejoint Tarija en bus de nuit afin de retrouver Sophie et Jérome Maurice de Saint-Pierre-d'Albigny, qui roulèrent trois ans autour du monde à scooter, désormais installés pour plusieurs mois en Bolivie avec leur petite Swanne.
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...et enfin le troisième...
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...puis le second...
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Voici le premier article...
Guillaume vous propose une sélection de trois coupures de presse qui relatent notre voyage...
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La ville frontière avec l'Argentine, Villazon, grand marché de denrées de toute sorte où les Argentins viennent s'approvisionner. Ici le Mercado Central
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Moises, le chauffeur du camion, qui s'amusa beaucoup des frayeurs d'Annie lors de passages délicats sur la piste étroite.
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Nous gardons une prudente vitesse sur cette piste difficile, ce qui nous permet de profiter pleinement du paysage...
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Corniches étroites, ravins profonds, spectacle grandiose lors de la descente sur Tojo.
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Au petit matin, départ dans un paysage de rêve, en route pour le col de Yunchara (3915 mètres).
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Une nuit douce sous la tente malgré l'altitude (3600 mètres), près des lagunes, un peu à l'écart de la piste.
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Passage près des Lagunas de Tajzara , deja visitées, mais en 4X4 , avec la famille Maurice.
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Près du sommet du col de Chorcoya (3800 mètres). La progression est rendue difficile par la pente et aussi par les bourrelets de terre.
NOS DERNIERES HEURES EN BOLIVIE
Après avoir quitté la douce atmosphère de la maison de Sophie et Jérome Maurice à Tarija, nous avons rechaussé les cale-pieds dans le village d'Iscayachi pour les ultimes étapes boliviennes de notre voyage.
Nous avons gouté au charme rocailleux tout autant que sablonneux de la piste qui conduit à Villazon, escaladant le col de Chorcoya (3800 mètres), campant près des Lagunas de Tajzara et leurs flamants à 3600 mètres sous une étonnante voute étoilée, franchissant le col de Yunchara (3915 mètres) sur une route de terre bien dégradée, plongeant enfin sur Tojo (2600 mètres) par une piste impressionnante.
Nous aurions passé dans ce village une nuit des plus rustique si Moises n'était pas passé par là avec son poids lourd vide et ne nous avait pas conduits gentiment près de Villazon, ce qui nous permit de gagner la ville-frontière avec l'Argentine juste avant la nuit.
Nous y dépensâmes nos derniers bolivianos avec une nostalgie bien réelle: la Bolivie nous avait gâtés en nous offrant un accueil simple mais chaleureux, et des paysages époustouflants (épistouflants, n'est-ce pas Gisèle ?).
Que découvrirons-nous en Argentine ?
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Voici l'article de cette semaine...
Guillaume nous présente la dernière coupure de presse relative à notre voyage...
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Voici l'article de cette semaine...
Guillaume nous fait part de la dernière revue de presse en Bolivie...
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